Le matin ...

Jenna n'était pas de garde ce week end, à vrai dire, il était temps, car ça faisait 2 semaines qu'elle travaillait le samedi et le dimanche. Là, elle pourrait souffler un peu. Elle s'était réveillée à 10 heures ce matin, et avait donc bien récupéré ses nuits blanches passées à l'hôpital. Elle avait grignoté, pris sa douche, s'était habillée et était sortie.
Un magnifique soleil brillait, il faisait très chaud. La jeune femme portait un jupe bleu ciel, avec une tunique blanche. Des lunettes soleil sur le nez, des santiags aux pieds, elle se dirigea vers le marché qu'elle fréquentait souvent.
Elle marchait à travers les stands, sans but précis, juste pour voir si quelque chose lui faisait envie. Autour d'elle, ça grouillait de monde, elle faisait attention de ne pas percuter tous les gens qui eux aussi faisaient leurs courses.

Marisol, jeune femme qui n’avait qu’un but dans sa vie, trouver le trésor tant convoité que ces parents cherchaient eux-mêmes avant d’être tuer par une étourderie. Elle avait donc quittée une Angleterre triste pour venir dans un pays inconnu qu’elle allait pas tardait à connaître comme sa poche. Cela ne faisait pas longtemps qu’elle était arrivée à Giza, deux ou trois jours qu’elle cherchait activement des renseignements pour trouver quelqu’un qui l’aiderait à réaliser son rêve.
Pour trouver des renseignements rien de mieux que de parcourir les marchés ou la plupart des marchands étaient parfois bien trop curieux et pour une petite poignée de billet seraient près à dire ce qu’il faut entendre, seulement que pour le moment, face à la jeune brune, ils n’étaient pas bavard, il est vrai qu’elle n’était qu’une étudiante alors qui parlerait ouvertement à une jeune femme comme elle.

*Si j’étais armée avec une tête de soldat qui a fait sa vie, ils diraient sûrement quelque chose.*

Grommela-t-elle.

Pour sa journée, dans la ville, sous un soleil chaud, elle avait décidé de mettre sur son dos une robe ample blanche crème et une sorte de cape avec un capuche pour éviter les coups de soleil car même si ce n’était que le matin, le soleil cognait déjà. En milieu de journée, les rues étaient sur bouquées de gens et Marisol, bousculait dans tout les sens se prit les pieds dans sa robe et tomba.